Le monde de la 3D (Dératisation, Désinsectisation et Désinfection) a changé ! Et cette transformation en profondeur est loin d’être achevée.
La première moitié du 20ème siècle a été le témoin d’évolutions majeures dans le secteur de la chimie et notamment dans la lutte contre les nuisibles synonymes de risques pathogènes. Ces méthodes chimiques de traitement des nuisibles, anti-rongeurs et anti-blattes en particulier, se sont montrées particulièrement efficaces. Il en va de même des traitements contre la punaise de lit qui a pratiquement disparu en France à partir des années 50.
Et pourtant, ces produits sont aujourd’hui remis en cause et font l’objet de restrictions de plus en plus nombreuses. Pourquoi ? Parce que le monde a changé et qu’aujourd’hui l’enjeu n’est plus seulement de combattre les nuisibles avec efficacité mais aussi la façon dont on y arrive.
Quelles sont ces nouvelles tendances ?
- La souffrance animale : il n’est plus tolérable de faire souffrir un animal, même s’il est nuisible
- L’impact écologique : il n’est plus tolérable de ne pas se préoccuper de l’impact des traitements chimiques sur l’environnement
- La sélectivité des traitements : il n’est plus tolérable de détruire directement ou indirectement des espèces non nuisibles lors de la mise en place de traitements anti-nuisibles
Les professionnels de la 3D doivent s’adapter à cette nouvelle donne. Les « Entreprises 3D nouvelle génération », telles que TECH-WAY sont particulièrement sensibles à ces sujets et offrent des méthodes alternatives plus efficaces et surtout nettement plus vertueuses en matière de protection de l’environnement.
Est-ce que les produits chimiques traditionnels doivent pour autant tous disparaitre ? Non la chimie traditionnelle continue à être indispensable, notamment dans des cas extrêmes lorsqu’il y a un risque épidémique ou un risque sanitaire avéré.
Aujourd’hui on parle ainsi davantage d’un recours raisonné aux produits chimiques accompagné de méthodes alternatives. Mais les innovations en la matière sont tellement nombreuses qu’il n’est pas impossible que dans quelques années les produits chimiques deviennent minoritaires.